Un demandeur dit que l’association d’al-Acher men Ramadan pour l’agriculture lui a attribué en 1978 un lopin de terre agricole de 20 feddans351 et une autre superficie pour la construction dont l’étendue est plus de 728 m². En 1983, il a tout vendu pour 30 mille L.E à une dame (définie par la suite par l’acheteuse). Cette dernière, à son tour, a entièrement réglé la somme et signé le contrat en présence de son mari. Néanmoins, le texte du contrat prévoyait que l’acheteuse devait accomplir les procédures d’officialisation auprès de l’association et payer les termes à échéance exigés par cette dernière. Le demandeur a été surpris par la réclamation de l’association du reste des termes (12830. L.E) comme s’il était toujours le propriétaire ! L’association lui a donné un préavis pour payer les redevances, sinon elle annulera le contrat par la voie judiciaire. Il est à noter que l’acheteuse a disparu.
Serais-je fautif si je revends la terre en question pour payer à l’association la somme exigible, restituer à l’acheteuse l’argent qu’elle m’a payé, et récupérer les sommes déjà payées à l’association tout en gardant à côté pour le compte de l’acheteuse le trente mille L.E. qu’elle m’a donnés, plus l’intérêt ? Serait-il préférable de laisser la terre inculte à l’association et mettre fin à cette transaction sans aucune responsabilité morale de ma part d’avoir dissipé l’argent de l’acheteuse ?
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Il y a quelqu'un qui achète des marchandises aux magasins puis il les vend à terme. C'est-à-dire, que le client vient auprès d'une personne lui demandant d'acheter pour lui un article déterminé d’un magasin. Ensuite, cette personne accompagne le client et lui achète l'article au comptant et la lui vend à terme à un prix plus élevé que celui payé au comptant. Il est à noter que cette personne intermédiaire n'a ni magasin ni articles à vendre. Quel en est l'avis religieux ?
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Mon père a mis son terrain en vente. Un acheteur a proposé son achat. On s'est mis verbalement d'accord avec lui pour la lui vendre en renforçant cette promesse de vente par la lecture de la sourate al-Fatiha349. Le lendemain, cet acheteur est revenu en compagnie d'un autre acheteur pour le même terrain. Le surlendemain, le premier acheteur est revenu encore une fois en compagnie d'un troisième acheteur. Enfin, nous avons constaté qu’il est un courtier. Alors, mon père et mon frère lui ont informé que l'accord conclu et renforcé par la lecture de la sourate al-Fatiha est nul à moins qu'il ne nous verse des arrhes. Le commissionnaire est parti sans rien avancer.
Ensuite, un acheteur, autre que les trois précédents, est venu acheter le terrain, verser des arrhes et signer avec nous le contrat comprenant une clause pénale d'une valeur de cent mille livres égyptiennes. Tout cela a eu lieu dans une seule séance. Alors le terrain revient-il de droit au premier acheteur ? Et le deuxième contrat de vente est-il valide ? Subissons-nous les conséquences fâcheuses de cette violation de l'engagement confirmé par la lecture de la sourate al-Fatiha bien qu'on ait averti le premier acheteur qui avait refusé de verser des arrhes qu'on est délié de cet engagement ?
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L'une de mes sœurs a vendu, en vertu d'un contrat primaire, à notre troisième sœur un terrain. Un certain temps après, une route fut établie à proximité de ce terrain et des réseaux d'électricités y ont été implantés, ce qui causé une hausse de la valeur foncière de la terre dans la région. Ma sœur a-t- elle le droit de réclamer la différence du prix ?
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Quel est l'avis religieux relatif à la construction d'une usine de composants des narguilés (chicha) ?
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Je possède une petite entreprise d'informatique et je vends des logiciels de comptabilité aux boutiques de prêt-à-porter. En fait, ces boutiques sont des entreprises commerciales qui utilisent ces logiciels pour gérer le pointage du personnel et déterminer le stock et les demandes des clients. Certains de ces boutiques vendent des bodys ou stretchs. Est-ce religieusement permis ?
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