Quel est le statut juridique du mariage des personnes en situation de handicap mental et leur possibilité d’avoir des enfants par la suite ?
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En Islam, est-il permis au père de marier sa fille sans son consentement, et quel est le statut de ce mariage selon les différents avis des savants ?
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Une femme ayant une préférence pour les femmes peut-elle ou doit-elle se marier avec un homme ?
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Je ressens un besoin sincère de me marier pour trouver un équilibre personnel et spirituel. Mon père, initialement favorable à mon projet, a changé d'avis en raison d'un élément du passé du prétendant, rendant toute communication difficile malgré mes efforts de réconciliation. J'ai sollicité l'aide d'un imam pour faciliter le dialogue, mais mon père a perçu cette démarche comme une pression et a refusé de le rencontrer.
Il m'a désormais clairement exprimé qu'il ne souhaite plus être impliqué dans aucun projet de mariage, me conseillant de me marier sans lui. Bien que je m'efforce d'avancer respectueusement et pacifiquement, la situation reste bloquée et pèse lourdement sur moi après trois mois de patience. Comment puis-je poursuivre mon projet tout en restant fidèle à mes valeurs dans ce contexte difficile ?
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Mes frères, nous savons qu'il est permis pour nous d'épouser des gens du Livre, qui sont classés parmi ceux qui croient en Dieu. Mais cette règle s'applique-t-elle aux gens du Livre de nos jours ? Par exemple, les Juifs associent des partenaires à Dieu, bien qu'ils croient en Son existence. Les chrétiens, eux, croient en Dieu mais pratiquent le polythéisme en disant le Père, le Fils, etc. Alors, sont-ils désormais considérés comme polythéistes et seront-ils jugés comme tels, ou sont-ils toujours des gens du Livre ? Et est-il toujours permis de les épouser de nos jours ?
J'ai également lu que si un musulman veut épouser une femme du Livre, elle doit être chaste. Est-il permis d'épouser une femme non chaste parmi eux, à condition qu'elle se convertisse à l'Islam ?
Qu'Allah vous bénisse.
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Est-il permis en Islam pour une femme de se marier sans wali si son père a coupé les liens familiaux et qu'elle se marie par appel vidéo avec un cadi, avec la connaissance de sa mère mais sans celle de son père et de ses oncles paternels ?
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Le mariage sans mahr est-il valide ? La mahr peut-elle être fixée après le mariage entre les époux ?
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Est-il permis de se marier en Islam tout en étant atteint du VIH ? Veuillez fournir une réponse complète, s'il vous plaît, par la grâce d'Allah.
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Je suis désolé(e) de vous déranger, mais j'aimerais savoir s'il est nécessaire de séparer une femme de son mari et de refaire leur contrat de mariage si elle apostasie en insultant Allah sous le coup d'une forte colère ?
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Si un homme pratique la prière puis abandonne la prière, mais revient plus tard à la pratique de la prière, est-ce que cela le rend à nouveau éligible pour le mariage avec une femme musulmane qui ne peut se marier qu'avec un musulman pratiquant et doté de bonnes valeurs religieuses ?
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J'ai une question concernant le délai à respecter lorsque le mariage a été consommé avant même qu'il ne puisse être célébré car nous n'avions pas pu trouver d'imam pour nous marier. J'ai remarqué qu'il y a des divergences sur cette question, notamment sur le délai à attendre avant de se marier après la consommation du mariage. Certains disent qu'il faut attendre trois périodes menstruelles sans voir le futur conjoint et que les deux parties doivent se repentir, tandis que d'autres disent qu'il suffit de se repentir et que le mariage peut être célébré sans attendre de délai, car en cas de grossesse, la filiation resterait avec cette même personne.
Je suis donc confus et je ne sais pas quoi faire. Pourriez-vous m'aider à clarifier cela ?
Barâka Allah oufik
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Si possible, je souhaite vous parler de ma situation actuelle et obtenir votre avis. Je suis affecté(e) par des pensées obsessionnelles concernant la validité de mon mariage. Je doute que mon mari m'ait répudié, mais il ne s'en souvient pas. Ces pensées m'ont plongé(e) dans une profonde dépression. J'ai décidé de demander l'aide d'Allah en priant pour obtenir des conseils. Hier soir, je cherchais la sourate Al-Mulk sur mon téléphone pour la lire avant de dormir, mais j'ai accidentellement cliqué sur la sourate "At-Talaq". Je me demande si c'est un signe d'Allah. Est-ce que cet acte peut être interprété comme un divorce, même si tout se passe bien avec mon mari ? Mes pensées obsessionnelles rendent mon mari malade, et je suis préoccupé(e) par ce que cela pourrait signifier [
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Veuillez nous faire connaître l'avis religieux relatif à la validité du contrat de mariage non officiel (urfi) qui fait l'objet du procès numéro 17 pour l'année 2008, Tribunal de la Famille, procès intenté par/…contre/… Le procès indique que la demandeuse s'est mariée avec le défendeur par le biais d'un contrat de mariage non officiel datant du 11/8/2007 et conclu en présence d'un seul témoin à l'insu du tuteur.
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Je suis mariée, depuis quatre ans et demi ; j’ai deux enfants : l'un a trois ans et l'autre est encore un bébé de cinq mois. Maintenant, j'ai 28 ans et mon mari a trente ans ; il est ingénieur en informatique. J’exerce, en fait, la même carrière que lui. A cet instant, je suis enceinte de quatrième mois. Durant ma deuxième conception, mon beau-père et mon beau-frère ont rejoint la Communauté al-Ahmadyya 1. Tout a commencé lorsqu’ils ont essayé de me convaincre, moi et mon mari, d'embrasser cette secte et de croire à ses principes. Mais, n’étant pas convaincue, je leur ai demandé, sur un ton ferme, de ne pas réitérer ce genre de conversation avec moi. Ils ont, en effet, respecté ma demande. Mais, avec l’insistance de son père, mon mari s’est laissé croire aux principes de cette secte, pour la simple raison que son père sait mieux son intérêt que quiconque. Mon beau-père est un homme cultivé, versé dans la science religieuse et mondaine, lecteur et chercheur de haut niveau, et expérimenté en matière de droit (colonel retraité). Ceci a poussé mon mari à faire un acte d'allégeance à la secte Ahmadi, et dès lors, il en fait partie. Cette secte, dit-on, est divisée en deux : l'un a pris le nom de (Djama'ah al-Ahmadyya) et l'autre (Djama'ah al-Qadyanyya) que la Communauté islamique et les savants musulmans ont taxé d’apostasie vue ses croyances étranges : ses adeptes effectuent le Pèlerinage à Qadiane et se dirigent, en prière, vers cette ville, etc…. Quant à al-Ahmadyya en question, je n'aperçois la moindre divergence entre eux et nous. Je les ai vus se diriger, en prière, vers la Mecque, réciter le Coran, suivre la Sunna et attester l'Unicité d'Allah et la Prophétie de Mohammad. Pas grande divergence, comme je pense, entre eux et nous, si ce n'est qu’ils n’accomplissent la prière ni dans les mosquées sunnites, ni derrière un imam appartenant à cette secte, qu’ils croient à la mort de Jésus et prennent leur imam Gholam Ahmad pour le Mahdi Attendu et Semblable à Jésus. En effet, j'ai lu cet acte d'allégeance dans lequel j’y ai constaté l’Attestation de foi musulmane (les deux Chahada), le fait de suivre la Sunna et de se conformer aux Cinq Piliers de l'Islam. Il est à noter également que mon mari, avant de rejoindre cette communauté n'était intéressé aux idées de telles sectes. Or, il était pratiquant s'acquittant des obligations religieuses et se préoccupant de son travail, de sa maison et de ses enfants. Veuillez me clarifier l'avis religieux à propos des points suivants : _ Ma vie conjugale est-elle légale avec lui ? Supposons qu'elle ne le soit pas, lui est-il permis alors de pourvoir à mes besoins ainsi qu’à ceux de ses enfants et de nous préparer un logement convenable ? _ Lui est-il permis également d'avoir droit à la garde des enfants puisqu’ils sont tous garçons, quand ils atteindront l'âge légal de garde ? Veuillez me donner une réponse écrite et signée Dar al-Ifta pour que ma famille s'en assure et reste à mes côtés, d’une part, et pour me servir de document officiel dans la poursuite des mesures judiciaires en la matière, d’autre part.
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Il s'agit d'une jeune fille qui était la fiancée d'un homme qui travaille à l'étranger. Pour conclure le mariage, il a fait au nom de l’un des proches de sa fiancée une procuration générale. De son côté, elle a mandaté son oncle maternel pour la même fin. Le mariage est donc conclu. Lorsque le notaire s'est rendu au tribunal pour légaliser le contrat, il s'est heurté à un refus, parce que le contrat est conclu par procuration générale alors qu'il fallait une procuration propre au mariage. Or, le jeune homme a refusé de refaire une procuration propre au mariage sous prétexte qu'il est, d'une part, préoccupé et qu'il va, d'autre part, regagner le pays pour conclure lui-même le contrat de mariage. A son retour, il n'est pas allé voir le notoire et a cherché à gagner du temps pour éviter la conclusion du mariage et l'achat des meubles du foyer conjugal. Pis encore, il est allé jusqu'à lui réclamer ses droits en tant qu'époux. Et même lorsqu'elle lui avait demandé le divorce, il a refusé et l’informée qu’il ne le divorcera pas ; puis il a quitté le pays. Est-elle légalement son épouse ou le contrat est-il invalide surtout qu'elle n'a ni document de mariage ni aucune preuve attestant qu'elle est son épouse ?
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Je suis marié avec une femme émiratie âgée de 37 ans, qui avait déjà été mariée auparavant. Nous avons signé un contrat de mariage conforme aux règles de la Charia, incluant des témoins et une dot, dans le cabinet d'un avocat. Cependant, en raison de nos différences de nationalités, le tuteur n'a pas donné son accord pour le mariage. J'ai alors entamé une action en justice pour faire valider le contrat, et le tribunal a statué en ma faveur. J'ai ensuite obtenu la légalisation du jugement auprès du Ministère de la Justice, du Ministère des Affaires Etrangères et de l'Ambassade émiratie, et j'ai informé notre famille de notre mariage. Toutefois, le père de ma femme a contesté la validité du contrat de mariage devant un tribunal aux Emirats Arabes Unis, arguant que le mariage avait été conclu sans son autorisation en tant que tuteur.
Ce mariage est-il valide ? Qu'en dit la religion ?
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Est-il permis aux parents de forcer leur fille, âgée de 18 ans, à se marier avec un homme mentalement infirme ?
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Quel est l'avis religieux relatif à l'avortement et à la légitimité des enfants hors mariage ?
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